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Est-ce possible d’avoir un autre métier avec sa conciergerie ?

Est-il possible de cumuler un autre métier avec la gestion d’une conciergerie ? Oui, à condition d’adopter la bonne organisation et les bons outils. Cet article complet explique comment concilier emploi principal et conciergerie grâce aux arrivées autonomes, à la délégation des tâches et à l’appui d’un réseau professionnel comme Hostcare. Découvrez comment structurer votre activité sans investissement, organiser vos interventions, choisir les bons logements et générer des revenus récurrents dès le premier bien. Que vous soyez salarié, indépendant ou en reconversion, apprenez à transformer la conciergerie en véritable source de revenus complémentaires durable, sans sacrifier votre équilibre de vie.

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15 min de lecture
Est-ce possible d’avoir un autre métier avec sa conciergerie ?

Est-ce possible d’avoir un autre métier avec sa conciergerie ?

Beaucoup de personnes s’intéressent aujourd’hui à la conciergerie comme activité complémentaire.
Mais est-il vraiment possible d’avoir un autre métier tout en gérant des biens en location saisonnière ?
La réponse est oui, à condition d’adopter une approche réaliste, bien structurée et accompagnée.

La conciergerie n’est pas forcément un métier à temps plein.
C’est avant tout une activité d’organisation et de coordination, qui peut s’adapter à différents rythmes de vie.
Grâce à l’évolution des outils numériques et à la montée des arrivées autonomes, il est désormais envisageable de concilier un emploi salarié, une activité indépendante ou même un autre projet professionnel avec la gestion de logements touristiques.


Une activité compatible avec un autre métier

Le modèle traditionnel des locations saisonnières – avec des arrivées le samedi et des départs groupés – appartient au passé.
Aujourd’hui, les voyageurs arrivent et repartent tous les jours de la semaine, avec des séjours souvent plus courts et plus flexibles.
Cette évolution ouvre la porte à une nouvelle manière de travailler pour les concierges.

L’essentiel est de structurer son activité dès le départ pour éviter d’être submergé.
Cela passe notamment par :

  • la mise en place d’un système d’arrivée autonome (boîte à clés, serrure connectée, ou service comme KeyNest),
  • une organisation claire du linge et du ménage,
  • et surtout, un partenaire ou réseau d’accompagnement capable de gérer la partie administrative et la relation voyageurs lorsque vous n’êtes pas disponible.

C’est ce qui permet de garder une activité secondaire vivable, sans subir les contraintes du temps.


La clé : automatiser les arrivées et les départs

La première condition pour pouvoir exercer un autre métier est de supprimer les arrivées en main propre.
L’accueil physique est chronophage, difficile à planifier, et incompatible avec un emploi salarié.

Les solutions les plus efficaces aujourd’hui sont :

  • la boîte à clés sécurisée installée sur place,
  • les commerces partenaires (pressing, tabac, bar, boulangerie) qui peuvent garder les clés à proximité,
  • ou les services spécialisés comme KeyNest, très utilisés dans les grandes villes.

Ces outils permettent aux voyageurs d’accéder au logement de manière autonome, sans intervention de votre part.
Cela ne diminue pas la qualité du service : au contraire, cela apporte de la flexibilité et de la réactivité, deux critères très recherchés par les voyageurs actuels.


L’importance d’un accompagnement solide

Gérer seul une conciergerie tout en ayant un autre métier peut vite devenir difficile.
Les voyageurs envoient parfois des messages tard le soir, le week-end ou en pleine journée de travail.
Et dans le monde de la location saisonnière, chaque minute compte : un message non lu ou un appel manqué peut nuire à votre réputation.

C’est pourquoi il est essentiel d’être accompagné par un réseau ou une structure qui prend en charge la partie gestion.
Chez Hostcare, par exemple, l’ensemble de la communication voyageurs, des réservations et du suivi administratif est centralisé.
Vous n’avez donc à vous concentrer que sur les missions terrain (ménage, linge, contrôle du logement), tout en conservant une activité principale à côté.

Cette organisation change tout : elle permet de profiter des revenus récurrents de la conciergerie sans sacrifier l’équilibre personnel ou professionnel.


Dans la prochaine partie, nous verrons comment organiser concrètement son emploi du temps pour concilier efficacement conciergerie et autre métier, sans stress et sans perte de qualité de service.

Comment organiser son emploi du temps quand on a un autre métier

Cumuler un autre métier avec une activité de conciergerie est tout à fait possible, mais cela exige une organisation rigoureuse et une bonne connaissance du rythme des locations saisonnières.
Le secret réside dans la planification des interventions et la capacité à anticiper les moments clés : les départs, les arrivées et la communication voyageurs.


Comprendre les temps forts de la conciergerie

Les journées types dans la location saisonnière sont rythmées par deux moments principaux :

  • le départ des voyageurs, généralement avant 10h,
  • l’arrivée des nouveaux hôtes, souvent à partir de 16h.

Ce créneau de 10h à 16h représente le cœur d’activité d’une conciergerie.
C’est à ce moment que le logement doit être nettoyé, réapprovisionné et contrôlé.
Pour les personnes ayant un autre emploi, cela signifie qu’il faut planifier les interventions ménage soit dans cette plage horaire, soit en décalé selon le rythme des réservations.


Adapter les prestations selon la fréquence des séjours

Tous les logements n’ont pas le même taux de rotation.
Un appartement loué à la semaine nécessite une intervention par semaine, tandis qu’un studio urbain réservé pour de courts séjours peut demander trois à quatre interventions.
Pour concilier les deux activités, il faut donc choisir ses biens avec discernement.

L’idéal, lorsque l’on travaille à côté, est de privilégier :

  • des petits logements faciles à nettoyer (studio ou T2),
  • situés à proximité de votre domicile ou lieu de travail,
  • et dotés d’une bonne autonomie logistique (buanderie, rangement du linge, boîte à clés, etc.).

Ces choix permettent d’éviter la fatigue et la désorganisation, tout en maintenant une qualité de service constante.


Gérer les interventions ménage de manière efficace

Même pour un petit appartement, il faut compter au minimum une heure par prestation.
Ce temps inclut non seulement le nettoyage, mais aussi :

  • le changement du linge,
  • le contrôle du matériel et des produits d’accueil,
  • et la préparation pour les prochains voyageurs.

Si vous travaillez à temps plein, deux options s’offrent à vous :

  1. Effectuer les ménages le matin avant votre journée de travail, lorsque les voyageurs partent à 10h,
  2. Intervenir le soir après votre journée, dans les cas où la réservation suivante ne s’enchaîne pas le jour même.

Cette souplesse d’organisation est un atout majeur du métier : vous pouvez ajuster vos horaires selon votre emploi du temps.


L’importance d’une planification numérique

L’usage d’un calendrier synchronisé est indispensable pour ne rien oublier.
Les plateformes comme Airbnb, Booking ou RentalReady permettent de recevoir des alertes automatiques à chaque réservation ou départ.
En reliant ces informations à un agenda Google, vous pouvez anticiper vos créneaux ménage plusieurs jours à l’avance.

Une organisation simple mais rigoureuse évite les urgences, les oublis et les surcharges.
C’est ce qui rend possible une conciergerie stable tout en conservant un emploi principal.


Anticiper les pics d’activité

Certaines périodes, comme les vacances scolaires ou les ponts de mai, concentrent davantage d’arrivées.
Si vous travaillez à côté, mieux vaut anticiper ces semaines en prévoyant un soutien ponctuel : un prestataire indépendant, un membre de votre famille, ou un collègue du réseau Hostcare.
Une aide extérieure, même limitée, permet de garder de la sérénité sans compromettre la qualité du service.


La conciergerie n’exige pas d’être disponible en permanence, mais elle demande de la réactivité et une bonne planification.
Dans la partie suivante, nous verrons comment structurer son projet sans investissement lourd, et pourquoi l’accompagnement par un réseau professionnel comme Hostcare rend ce modèle réellement viable à long terme.

Structurer son projet sans investissement lourd

Lorsqu’on exerce une autre activité à côté, la clé pour réussir dans la conciergerie est de ne pas alourdir les charges fixes.
Cette approche permet de garder une marge confortable et de limiter les risques, tout en construisant une activité rentable et flexible.
Le but n’est pas de tout gérer, mais de bien gérer ce que vous pouvez faire vous-même, avec des outils simples et un accompagnement solide.


Démarrer léger et sans frais inutiles

Une erreur fréquente consiste à vouloir investir trop vite dans des logiciels ou des abonnements.
Pourtant, au lancement, il est tout à fait possible de travailler avec :

  • un simple compte Airbnb,
  • une adresse Gmail professionnelle,
  • un tableur Google Sheets pour suivre les séjours et revenus,
  • et une boîte à clés sécurisée.

Ces quelques éléments suffisent pour débuter avec un seul bien, voire deux, sans se surcharger.
Votre priorité doit être la qualité du ménage, la réactivité et la satisfaction voyageurs, bien avant la sophistication des outils.


Éviter l’investissement au démarrage

Quand la conciergerie n’est pas votre activité principale, il est essentiel de ne pas engager de capital.
Aucun véhicule supplémentaire, aucun local, aucune dépense marketing importante n’est nécessaire.
Votre rentabilité repose sur la maîtrise de vos coûts.

En parallèle, vous pouvez renforcer vos revenus en sous-traitant des prestations ponctuelles à d’autres conciergeries locales : ménage, linge, contrôle de logements.
Cela vous permet de gagner de l’expérience, de tester le marché et de générer des revenus complémentaires sans engagement financier.

C’est un moyen intelligent de progresser, tout en apprenant le métier sur le terrain.


L’intérêt d’un réseau d’accompagnement

Travailler seul dans la conciergerie peut devenir difficile, surtout lorsqu’on a un autre emploi à temps plein.
C’est pourquoi rejoindre un réseau structuré comme Hostcare est un véritable atout.
Un réseau d’accompagnement vous apporte :

  • un cadre administratif déjà en place,
  • la gestion complète des voyageurs (réservations, messages, incidents),
  • et des revenus récurrents sur chaque bien, sans besoin d’encaisser directement les paiements.

Cette organisation simplifie tout.
Vous restez concentré sur le terrain, pendant que la plateforme s’occupe de la relation client et de la logistique digitale.
Cela permet de maintenir un équilibre entre votre activité principale et la conciergerie.


Un modèle qui reste viable dans le temps

Une conciergerie secondaire bien structurée peut devenir un vrai complément de revenu durable.
Grâce à l’automatisation des réservations et à la délégation de la gestion, votre disponibilité n’a pas besoin d’être totale pour offrir un service de qualité.
L’objectif est simple : que la conciergerie reste une activité rentable, mais non contraignante.

Vous pouvez ainsi développer progressivement votre portefeuille de biens, sans risquer de déséquilibrer votre emploi du temps ou votre situation professionnelle actuelle.


Dans la prochaine partie, nous verrons combien peut réellement rapporter une conciergerie lorsqu’on travaille à côté, et comment les revenus évoluent selon le type de bien et la saison.

Combien peut rapporter une conciergerie quand on travaille à côté ?

C’est la question que se posent tous ceux qui envisagent de se lancer : combien peut-on réellement gagner avec une conciergerie lorsqu’on a déjà un autre métier ?
Les revenus varient fortement selon le type de bien, la localisation, la saison et le niveau d’implication du concierge.
Mais une chose est sûre : même avec un seul logement, les revenus peuvent être significatifs et récurrents.


Des revenus dès le premier bien

Dès le premier bien géré, il est possible de percevoir un revenu mensuel régulier.
En moyenne, pour un petit appartement situé dans une zone touristique, une conciergerie complète (gestion + ménage) peut générer :

  • 200 à 300 € par mois en basse saison,
  • 500 à 800 € par mois en moyenne saison,
  • et parfois plus de 1 000 € par mois en haute saison, selon la performance locative.

Ces chiffres incluent à la fois les honoraires de gestion et les frais de ménage facturés aux voyageurs.
Pour un logement de taille moyenne ou situé dans une région très demandée, les montants peuvent rapidement doubler.


L’effet cumulatif du portefeuille

Le grand avantage de la conciergerie, c’est que les revenus sont cumulatifs et récurrents.
Chaque nouveau bien ajouté vient renforcer votre base mensuelle.
Ainsi :

  • avec 2 à 3 biens, on atteint facilement 500 à 1 000 € nets par mois,
  • avec 4 à 5 biens, 1 500 à 2 000 €,
  • et au-delà de 6 biens, la conciergerie devient un véritable complément de salaire, voire une transition vers une activité principale.

L’objectif n’est pas de courir après le volume, mais de sélectionner des logements simples à gérer et bien situés, qui garantissent des revenus stables sans surcharge de travail.


L’importance du choix du bien

Tous les logements ne se valent pas.
Pour une personne ayant un autre métier, le plus judicieux est de cibler :

  • des studios ou T2 bien situés, faciles à entretenir,
  • des biens avec peu d’entretien extérieur,
  • et idéalement équipés pour l’autonomie voyageurs (boîte à clés, check-in simplifié, linge sur place).

Ces biens demandent peu d’organisation, tout en offrant une rentabilité attractive.
À l’inverse, une grande maison ou une villa haut de gamme peut générer des revenus supérieurs, mais aussi une charge logistique trop lourde à gérer seul.


Le rôle de la saisonnalité

Les revenus de la conciergerie suivent la même logique que ceux du tourisme.
Les pics d’activité se situent généralement entre avril et septembre, mais certaines villes dynamiques ou zones d’affaires conservent un taux d’occupation élevé toute l’année.
Ce rythme permet à beaucoup de concierges indépendants de conserver leur emploi principal tout en profitant des bénéfices saisonniers pendant la haute période.

L’avantage du modèle, c’est que même en basse saison, les revenus restent réguliers grâce à la location moyenne durée, souvent privilégiée entre octobre et mars.


Un revenu flexible, mais pas aléatoire

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les revenus d’une conciergerie secondaire ne sont pas instables.
Ils dépendent surtout de votre capacité à :

  • bien choisir les biens que vous gérez,
  • maintenir une qualité de service constante,
  • et vous appuyer sur un réseau structuré pour la partie gestion.

Même avec un seul bien, l’activité devient rapidement motivée par les résultats : chaque prestation compte, et chaque mission est rémunérée.


Dans la prochaine partie, nous verrons comment choisir les bons types de biens et adapter votre rythme de travail pour ne pas vous laisser déborder, tout en conservant un bon équilibre entre votre vie professionnelle et votre activité de conciergerie.

Choisir les bons biens et trouver le bon équilibre

Lorsqu’on exerce un autre métier à côté de sa conciergerie, tout repose sur le choix des biens et sur la gestion du rythme.
Le but n’est pas de multiplier les logements, mais de trouver un équilibre entre rentabilité, simplicité et confort de gestion.


Privilégier les petits logements

Les petits appartements, comme les studios ou T2, sont les plus adaptés à une activité secondaire.
Ils offrent plusieurs avantages :

  • un temps de ménage réduit (souvent une heure suffit),
  • une rotation fluide entre les séjours,
  • moins de risques d’incidents ou de casse,
  • et une gestion simplifiée du linge.

Un seul de ces biens peut déjà représenter un revenu intéressant sans occuper tout votre temps libre.
Mieux vaut gérer deux petits logements efficaces qu’une grande maison complexe, surtout lorsqu’on travaille à côté.


Cibler les secteurs à fort potentiel touristique

Le choix de la localisation influence directement la rentabilité.
Même avec un autre métier, il est possible d’obtenir de bons résultats si le logement se situe :

  • dans une zone touristique active,
  • à proximité d’un centre-ville,
  • ou dans une région saisonnière bien desservie (mer, montagne, campagne authentique).

Ces secteurs garantissent une rotation naturelle de voyageurs sans effort marketing important.
En revanche, une zone trop éloignée ou mal desservie demandera davantage de disponibilité et de gestion.


Optimiser son organisation personnelle

Pour éviter d’être débordé, il faut construire une routine claire :

  • vérifier le planning des séjours chaque dimanche,
  • préparer à l’avance le linge propre et les consommables,
  • et bloquer dans votre agenda les créneaux ménage et contrôle logement.

Cette discipline simple vous permet de concilier vos deux activités sans stress.
La clé, c’est la régularité : plus vous anticipez, moins vous subissez les imprévus.


Apprendre à dire non

L’une des erreurs les plus fréquentes est de vouloir tout accepter.
Gérer trop de logements, ou des biens trop éloignés, finit toujours par nuire à la qualité du service et à votre équilibre personnel.
Il faut savoir refuser un bien mal situé ou trop chronophage.
La rentabilité ne se mesure pas seulement au chiffre d’affaires, mais aussi au temps consacré.

Un bien rentable, c’est un logement qui génère un revenu régulier sans déséquilibrer votre emploi du temps.


Se faire seconder au bon moment

Quand la charge devient trop importante, la meilleure solution est de s’entourer.
Un prestataire ménage, un proche disponible ou un autre concierge du réseau peuvent vous aider à absorber les pics d’activité.
Cette délégation ponctuelle évite les urgences de dernière minute et maintient un bon niveau de service.

Avec un réseau comme Hostcare, vous pouvez vous appuyer sur des prestataires locaux qualifiés et une coordination centralisée, ce qui facilite grandement la gestion des imprévus.


Garder le contrôle sur son temps

Le véritable défi, lorsqu’on cumule deux activités, est de ne pas se laisser envahir par la conciergerie.
L’objectif n’est pas de tout faire, mais de garder la maîtrise de son organisation.
Chaque bien doit s’intégrer dans votre rythme de vie, et non l’inverse.
C’est ce qui permet de conserver le plaisir d’entreprendre, sans fatigue ni surcharge mentale.


Dans la dernière partie, nous verrons comment transformer cette activité secondaire en source de revenus durable, en conservant une approche professionnelle et bien structurée.

Faire de sa conciergerie un revenu durable sans quitter son emploi

Avoir un autre métier tout en gérant une conciergerie, c’est non seulement possible, mais de plus en plus courant.
Ce modèle attire de nombreux profils : salariés souhaitant compléter leurs revenus, indépendants en quête de stabilité, ou futurs entrepreneurs désireux de tester le marché avant de se lancer à plein temps.
Le secret réside dans l’organisation, l’accompagnement et la stratégie.


Trouver son propre équilibre

Chaque concierge doit définir son modèle selon son rythme de vie et ses ambitions.
Pour certains, il s’agit d’un complément de revenu stable permettant de financer un projet personnel.
Pour d’autres, c’est une première étape vers l’indépendance professionnelle.

Le plus important est de ne pas reproduire les erreurs classiques : vouloir grandir trop vite, investir trop tôt, ou accepter des biens difficiles à gérer.
Une conciergerie rentable à temps partiel repose avant tout sur la simplicité, la rigueur et la sélection.


S’appuyer sur un réseau pour durer

La différence entre une activité viable et une activité épuisante tient souvent à l’entourage professionnel.
Être accompagné par un réseau comme Hostcare, c’est bénéficier :

  • d’un appui administratif et technique,
  • d’une gestion voyageurs centralisée,
  • et d’un cadre opérationnel solide pour éviter les erreurs de débutant.

Ce type de soutien rend la conciergerie compatible avec une vie professionnelle déjà bien remplie.
Vous pouvez ainsi profiter des avantages économiques de la location saisonnière sans subir les contraintes du terrain.


Construire une source de revenus progressive

La conciergerie est un modèle à revenus récurrents et évolutifs.
Même en parallèle d’un emploi, elle permet d’accumuler chaque mois des gains réguliers, de fidéliser des propriétaires, et de poser les bases d’une activité plus large.
Au fil du temps, il devient possible de faire croître son portefeuille et de déléguer les missions terrain à d’autres prestataires, transformant l’activité complémentaire en source principale de revenus.

C’est un processus progressif, mais accessible à tous avec une bonne méthode.


En résumé

Oui, il est tout à fait possible d’avoir un autre métier tout en gérant une conciergerie.
Grâce aux outils modernes, à la digitalisation des arrivées et à la délégation de la gestion voyageurs, le métier s’adapte aujourd’hui à tous les profils.
Ce qu’il faut retenir :

  • Automatisez ce qui peut l’être (check-in, planning, communication).
  • Sélectionnez des biens simples et proches de chez vous.
  • Appuyez-vous sur un réseau fiable pour la gestion quotidienne.
  • Gardez le contrôle sur votre rythme et vos charges.

Avec ces principes, la conciergerie devient une activité complémentaire durable, motivante et rentable, capable de générer des revenus récurrents sans bouleverser votre vie professionnelle.


Dans la réalité, beaucoup de concierges à succès ont commencé ainsi : un autre métier, un premier bien, puis une progression naturelle.
L’essentiel n’est pas d’aller vite, mais de construire une activité solide, en phase avec votre rythme de vie.

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