Démarches administratives Airbnb 2025 : obligations et contraintes pour les propriétaires
Quelles démarches Airbnb en 2025 ? Découvrez toutes les obligations administratives et fiscales pour louer légalement en location saisonnière.

Démarches administratives Airbnb 2025 : obligations et contraintes pour les propriétaires
Introduction : louer sur Airbnb en 2025, entre opportunités et complexité
La location saisonnière via des plateformes comme Airbnb, Booking ou Abritel connaît depuis plusieurs années un succès fulgurant en France. Des millions de voyageurs choisissent désormais ce mode d’hébergement pour son authenticité, sa flexibilité et son prix souvent plus attractif que l’hôtellerie classique. Pour les propriétaires, c’est une opportunité unique de générer des revenus complémentaires, de valoriser leur patrimoine et parfois même d’en faire une véritable activité professionnelle.
Mais ce succès s’accompagne d’un encadrement de plus en plus strict. En 2025, les contraintes administratives, fiscales et réglementaires sont nombreuses : déclaration en mairie, immatriculation, plafond des 120 jours pour les résidences principales, respect des règles de copropriété, collecte de la taxe de séjour, choix du régime fiscal adapté… Autant d’étapes qui, si elles sont mal anticipées, peuvent exposer les propriétaires à de lourdes sanctions.
Beaucoup se lancent sur Airbnb sans mesurer l’ensemble de ces obligations. Pourtant, ignorer ou négliger une démarche peut coûter cher : amendes, redressements fiscaux, suspension d’annonce, voire interdiction de louer.
L’objectif de cet article est de vous donner une vision claire et complète des démarches administratives pour louer en courte durée en 2025. Vous découvrirez les étapes incontournables, les obligations fiscales et les contraintes spécifiques à Airbnb. Et pour aller plus loin, vous pouvez demander gratuitement le Guide complet du propriétaire Hostcare via notre formulaire de contact : un document détaillé qui regroupe toutes les informations nécessaires pour sécuriser et optimiser votre activité.
Étape 1 – Les démarches préalables avant toute mise en ligne Airbnb
Avant même de publier une annonce sur Airbnb, un propriétaire doit s’assurer que son projet est conforme à la réglementation. 2025 marque un durcissement du contrôle par les communes, notamment dans les zones tendues où la pression immobilière est forte.
Vérifier la réglementation locale (communes et zones tendues)
En France, la réglementation n’est pas uniforme : chaque commune peut décider de ses propres règles concernant la location saisonnière.
- Résidence principale : si le logement constitue votre résidence principale (vous y habitez plus de 8 mois par an), vous pouvez le louer dans la limite de 120 nuits par an. Au-delà, la mairie peut imposer un changement d’usage ou interdire la location.
- Résidence secondaire : si le logement n’est pas votre résidence principale, les démarches sont plus lourdes. Dans de nombreuses grandes villes comme Paris, Bordeaux, Lyon ou Nice, vous devez obtenir une autorisation de changement d’usage et parfois compenser en transformant un local commercial en logement.
- Numéro d’enregistrement : certaines communes imposent l’obtention d’un numéro d’enregistrement à indiquer sur votre annonce. Sans ce numéro, votre annonce peut être suspendue automatiquement par Airbnb.
En pratique, la première étape consiste à contacter votre mairie ou consulter son site internet pour connaître la réglementation en vigueur. Les règles évoluent vite et diffèrent d’une commune à l’autre.
Les contraintes de copropriété et autorisations
Même si la loi autorise la location saisonnière, encore faut-il que votre copropriété ne s’y oppose pas.
- Vérifiez le règlement de copropriété : certains immeubles interdisent explicitement les locations de courte durée, surtout dans les grandes résidences.
- Respect du voisinage : la gestion des nuisances sonores est un enjeu majeur. En cas de plaintes répétées, la copropriété peut vous interdire de continuer.
- Bonnes pratiques : prévenir le syndic et informer vos voisins permet souvent d’éviter les conflits.
« Beaucoup de propriétaires oublient que la copropriété peut être leur premier frein administratif. Avant de penser à Airbnb, il faut toujours vérifier son règlement d’immeuble », rappelle un expert immobilier.
Les diagnostics techniques obligatoires
Comme pour toute location meublée, certains diagnostics doivent être disponibles pour le locataire :
- Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) : obligatoire pour toutes les locations. Depuis 2023, les logements classés G sont progressivement interdits à la location, une contrainte à anticiper.
- Diagnostic électricité et gaz (si installation de plus de 15 ans).
- Diagnostic plomb (si le logement a été construit avant 1949).
- Détecteur de fumée : obligatoire dans tous les logements.
Ces documents doivent être tenus à disposition des voyageurs et peuvent être exigés en cas de contrôle.
Le classement en meublé de tourisme (facultatif mais conseillé)
Le classement en meublé de tourisme n’est pas obligatoire, mais il présente plusieurs avantages :
- Fiscalité allégée : abattement de 71 % au lieu de 50 % en régime micro-BIC.
- Meilleure visibilité : certains voyageurs privilégient les logements classés.
- Gage de qualité : le classement rassure les locataires et valorise le bien.
La demande de classement se fait auprès d’un organisme accrédité, et la grille d’évaluation prend en compte le confort, les équipements et la qualité de l’accueil.
👉 Pour retrouver la liste complète des documents et étapes à anticiper avant de louer sur Airbnb, demandez le Guide complet du propriétaire Hostcare via notre formulaire de contact.
Étape 2 – Déclarer officiellement son activité de location saisonnière
Une fois les vérifications faites et le logement conforme, il ne suffit pas de mettre son annonce en ligne. En France, la location saisonnière est une véritable activité qui doit être déclarée. Cette étape est indispensable pour rester en règle vis-à-vis des impôts et des communes, surtout depuis le renforcement des contrôles en 2025.
L’immatriculation obligatoire (numéro SIRET)
Tout particulier qui loue un logement meublé doit déclarer son activité auprès du greffe ou de l’INSEE pour obtenir un numéro SIRET. Cette formalité se fait en remplissant le formulaire P0i (Cerfa n°11921*05).
- Cette immatriculation est obligatoire, même pour les locations ponctuelles.
- Elle vous inscrit officiellement comme loueur en meublé non professionnel (LMNP), ou professionnel (LMP) si vos revenus dépassent certains seuils.
- Le numéro SIRET est ensuite utilisé pour toutes vos démarches fiscales et déclarations de revenus.
« Beaucoup de propriétaires pensent que louer sur Airbnb est une activité “informelle”. Or, sans numéro SIRET, vous êtes hors-la-loi et vous risquez des sanctions fiscales », souligne un fiscaliste.
Déclaration en mairie et numéro d’enregistrement
Depuis la loi Élan et renforcée en 2025, de nombreuses communes imposent la déclaration en mairie des meublés de tourisme.
- Dans les communes concernées, vous devez obtenir un numéro d’enregistrement.
- Ce numéro doit apparaître dans votre annonce Airbnb. Sans lui, l’annonce peut être supprimée automatiquement par la plateforme.
- Certaines villes comme Paris, Bordeaux ou Nice imposent des règles très strictes, allant jusqu’à l’interdiction de louer une résidence secondaire sans changement d’usage.
Le défaut de déclaration en mairie expose à des amendes importantes, pouvant atteindre 5 000 € pour le propriétaire, et jusqu’à 50 000 € dans les cas de fraude avérée.
Conseil pratique : consultez systématiquement le site internet de votre mairie pour vérifier les démarches exactes dans votre commune. Chaque ville fixe ses propres règles et procédures.
Classement en meublé de tourisme (optionnel mais stratégique)
Comme évoqué dans la partie 1, le classement en meublé de tourisme est une démarche facultative mais très utile. Une fois le logement classé :
- Vous bénéficiez d’un abattement fiscal de 71 % sur vos revenus locatifs en régime micro-BIC, contre 50 % si le logement n’est pas classé.
- Vous pouvez afficher officiellement le classement dans votre annonce Airbnb, ce qui rassure les voyageurs et valorise votre bien.
- Le classement est valable 5 ans et repose sur une grille nationale de critères (surface, équipements, confort, services).
Le processus se fait via un organisme accrédité, qui viendra inspecter votre logement. Le coût varie généralement entre 150 et 300 € selon la taille du bien.
👉 Bon à savoir : pour connaître les démarches exactes (P0i, immatriculation, déclaration en mairie, classement), vous pouvez demander le Guide complet du propriétaire Hostcare. Il regroupe tous les modèles et liens utiles. Disponible gratuitement via notre formulaire de contact.
Étape 3 – Les obligations fiscales en 2025
Louer un logement sur Airbnb ou toute autre plateforme ne se limite pas à publier une annonce et encaisser les loyers. Les revenus tirés de cette activité sont considérés comme des revenus locatifs imposables, et doivent donc être déclarés aux impôts. En 2025, l’administration fiscale renforce encore les contrôles, notamment grâce à la transmission automatique des données par Airbnb. Chaque propriétaire doit donc anticiper ses obligations fiscales pour éviter les mauvaises surprises.
Micro-BIC vs régime réel simplifié
Lorsque vous louez un logement meublé, vos revenus entrent dans la catégorie des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC). Deux régimes fiscaux sont possibles :
-
Le régime micro-BIC
- Accessible si vos revenus locatifs ne dépassent pas 77 700 € par an (plafond 2025).
- Application d’un abattement forfaitaire de 50 % sur vos revenus (ou 71 % si votre logement est classé meublé de tourisme).
- Avantage : simplicité de déclaration (aucune comptabilité complexe).
- Inconvénient : les charges réelles (crédit, travaux, frais de gestion) ne sont pas déductibles.
-
Le régime réel simplifié
- Obligatoire si vos revenus dépassent 77 700 € ou sur option.
- Vous déclarez vos revenus réels et pouvez déduire toutes vos charges : intérêts d’emprunt, travaux, assurances, frais de ménage, commission Airbnb, amortissement du mobilier et du logement.
- Avantage : intéressant pour les propriétaires avec des charges importantes.
- Inconvénient : nécessite une comptabilité rigoureuse, souvent confiée à un expert-comptable.
Exemple pratique : un propriétaire qui encaisse 20 000 € par an et supporte 8 000 € de charges aura intérêt à opter pour le réel. Au micro-BIC, il sera imposé sur 10 000 € (après abattement de 50 %). Au réel, il pourra ramener sa base imposable à 12 000 € (20 000 – 8 000). L’économie d’impôt peut être substantielle.
Les taxes locales et contributions
En plus de l’impôt sur le revenu, les propriétaires doivent s’acquitter de différentes taxes locales liées à leur activité.
- Taxe foncière : due chaque année par le propriétaire, quelle que soit l’utilisation du logement.
- Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) : obligatoire pour tout loueur en meublé, sauf exonération en cas de revenus très faibles. Son montant varie selon la commune et la taille du logement.
- Taxe de séjour : perçue par la commune sur chaque nuitée. Sur Airbnb, elle est collectée automatiquement et reversée à la mairie. Mais sur d’autres plateformes (Booking, Abritel, site perso), le propriétaire doit la déclarer et la reverser lui-même.
« Beaucoup de propriétaires oublient la CFE. Pourtant, même avec un petit studio sur Airbnb, elle est due dès que vous avez un numéro SIRET », prévient un fiscaliste spécialisé.
La déclaration annuelle des revenus
En mai de chaque année, vous devez déclarer vos revenus Airbnb aux impôts :
-
Micro-BIC :
- Vous indiquez vos recettes brutes dans la déclaration complémentaire n°2042-C-PRO.
- L’abattement de 50 % (ou 71 % si classé) s’applique automatiquement.
-
Régime réel :
- Vous devez produire une liasse fiscale (formulaire n°2031 et annexes).
- Cela implique une comptabilité complète (bilan, compte de résultat, annexes).
- Dans la pratique, la plupart des propriétaires passent par un expert-comptable.
Attention : depuis 2021, les plateformes comme Airbnb, Booking ou Abritel transmettent directement vos revenus à l’administration fiscale. En 2025, ce dispositif est pleinement opérationnel et les contrôles sont automatiques. Toute omission volontaire peut entraîner un redressement.
👉 Pour savoir comment remplir correctement vos déclarations et éviter les erreurs, demandez gratuitement le Guide complet du propriétaire Hostcare via notre formulaire de contact.
Étape 4 – Les contraintes spécifiques Airbnb en 2025
Au-delà des démarches administratives générales liées à la location saisonnière, Airbnb impose en 2025 plusieurs règles particulières que chaque propriétaire doit respecter. Ces obligations découlent des lois françaises et des conventions passées entre l’État et les plateformes de location courte durée. Ignorer ces contraintes, c’est s’exposer à des sanctions financières lourdes et à la suspension pure et simple de son annonce.
Le plafond des 120 nuits/an pour les résidences principales
La règle des 120 nuits par an est l’une des plus connues, mais aussi l’une des plus surveillées.
- Résidence principale : un logement est considéré comme résidence principale si vous l’occupez plus de 8 mois par an. Dans ce cas, vous ne pouvez pas le louer plus de 120 jours par an sur Airbnb.
- Résidence secondaire : le plafond des 120 nuits ne s’applique pas, mais dans la majorité des grandes villes, vous devez obtenir une autorisation de changement d’usage, souvent difficile et coûteuse à obtenir.
Airbnb est désormais dans l’obligation de bloquer automatiquement le calendrier d’un propriétaire qui dépasse ce plafond pour sa résidence principale dans les communes concernées. Les données sont également transmises aux mairies, qui peuvent effectuer des contrôles croisés.
« Depuis 2025, les contrôles sont beaucoup plus stricts. Les propriétaires qui tentent de contourner le plafond en ouvrant plusieurs comptes ou en changeant l’intitulé de l’annonce s’exposent à de lourdes amendes », rappelle un juriste spécialisé en droit immobilier.
Les obligations d’affichage et de transparence
Pour lutter contre la fraude et renforcer la transparence, Airbnb impose plusieurs obligations d’affichage dans les annonces :
- Le numéro d’enregistrement délivré par la mairie (dans les communes qui l’imposent) doit figurer clairement sur l’annonce.
- Le propriétaire doit préciser si le logement est sa résidence principale ou une résidence secondaire.
- Les informations liées à la capacité d’accueil, à la surface et aux équipements doivent être exactes, sous peine de sanction.
Depuis 2025, la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) peut sanctionner les annonces trompeuses, y compris celles qui omettent volontairement certaines informations.
Les sanctions en cas de non-conformité
Les sanctions pour non-respect des règles Airbnb en 2025 sont significatives :
- Amendes administratives pouvant aller de 5 000 € à 50 000 € selon la gravité de l’infraction.
- Suspension ou suppression immédiate de l’annonce par Airbnb.
- Actions judiciaires possibles de la part des copropriétés en cas de nuisances ou de non-respect du règlement.
À Paris, des propriétaires ont déjà été condamnés à plusieurs dizaines de milliers d’euros d’amende pour avoir loué sans autorisation. D’autres ont vu leurs annonces supprimées du jour au lendemain, perdant ainsi une source de revenus importante.
« Louer sur Airbnb est une activité rentable, mais elle doit être gérée avec sérieux. En 2025, l’État et les communes disposent de tous les outils pour repérer les fraudeurs. Les propriétaires doivent jouer la carte de la transparence pour pérenniser leur activité », insiste un avocat fiscaliste.
👉 Le Guide complet du propriétaire Hostcare détaille l’ensemble des contraintes Airbnb à jour en 2025 et propose une checklist pour vérifier si votre logement est conforme. Vous pouvez le demander gratuitement via notre formulaire de contact.
Étape 5 – Les bonnes pratiques pour rester en règle
En 2025, louer un logement sur Airbnb est une activité encadrée, mais elle reste tout à fait accessible à condition d’anticiper les démarches et d’adopter les bons réflexes. Voici les meilleures pratiques qu’Alexandra recommande aux propriétaires pour rester conformes et sécuriser leur activité.
Anticiper les contrôles et garder ses justificatifs
Les communes comme l’administration fiscale multiplient les contrôles. Pour être prêt à répondre à toute demande, il est indispensable de conserver tous vos documents à jour :
- Copie de votre déclaration en mairie et numéro d’enregistrement.
- Votre numéro SIRET et le formulaire P0i validé.
- Les diagnostics techniques obligatoires (DPE, gaz, électricité, plomb si concerné).
- Les preuves de vos revenus locatifs (relevés Airbnb, factures de ménage, quittances de loyer).
- Les justificatifs liés aux taxes locales (taxe de séjour, CFE).
En cas de contrôle, présenter un dossier complet évite les sanctions et montre votre bonne foi.
Choisir le régime fiscal adapté à son profil
Le choix entre micro-BIC et réel simplifié ne doit pas être improvisé. Il dépend de vos revenus, de vos charges et de vos objectifs patrimoniaux.
- Pour un petit logement ou une activité complémentaire, le micro-BIC reste le plus simple.
- Pour un investissement plus important, avec un crédit immobilier et des frais élevés, le régime réel est généralement plus avantageux.
« Le bon régime fiscal permet souvent de réduire son imposition de manière significative. Ne pas se poser la question, c’est parfois perdre plusieurs milliers d’euros par an », rappelle un expert-comptable spécialisé en LMNP.
Penser au classement meublé de tourisme
Même si cette démarche est optionnelle, elle reste une bonne pratique :
- Elle vous fait bénéficier d’un abattement de 71 % en micro-BIC.
- Elle rassure vos voyageurs sur la qualité de votre logement.
- Elle peut vous démarquer de la concurrence sur Airbnb et Booking.
Un logement classé est plus crédible et inspire confiance, surtout auprès d’une clientèle étrangère.
Adopter une gestion transparente et professionnelle
En 2025, Airbnb transmet automatiquement vos revenus à l’administration fiscale. Toute tentative de dissimulation est vouée à l’échec. La meilleure stratégie reste donc la transparence et une gestion professionnelle :
- Indiquez clairement le numéro d’enregistrement sur votre annonce.
- Respectez le plafond des 120 nuits pour votre résidence principale.
- Déclarez tous vos revenus, même en cas de location occasionnelle.
👉 Pour ne rien oublier, le Guide complet du propriétaire Hostcare propose une checklist pratique et mise à jour des démarches administratives et fiscales. Vous pouvez le demander gratuitement via notre formulaire de contact.
Conclusion : anticiper pour louer sereinement sur Airbnb en 2025
La location saisonnière via Airbnb reste une formidable opportunité pour les propriétaires en 2025. Elle permet de générer des revenus attractifs, de valoriser son patrimoine et d’accueillir des voyageurs du monde entier. Mais elle ne s’improvise pas : la réglementation française impose un cadre précis, avec des démarches à respecter scrupuleusement.
De la déclaration en mairie au numéro SIRET, du respect du plafond de 120 nuits à la déclaration fiscale annuelle, chaque étape compte. Ignorer ces contraintes expose à des sanctions lourdes : amendes, redressements, suspension de votre annonce.
La bonne nouvelle, c’est qu’en anticipant et en adoptant les bonnes pratiques, il est tout à fait possible de louer en toute sérénité. Les propriétaires sérieux, organisés et transparents tirent pleinement profit de la location saisonnière, là où les fraudeurs prennent des risques inutiles.
Pour vous aider à sécuriser votre activité, Hostcare met à disposition son Guide complet du propriétaire. Véritable référence, il regroupe toutes les démarches administratives, fiscales et pratiques à connaître pour louer en 2025 en conformité avec la loi.
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